Je sais pas vous, mais moi, je commence à avoir pas mal de copines autour de moi qui font des babies! Voici une sélection d’objets beaucoup trop mignons pour elles, pour vous, ou vos kids chéris…
1. Plat à gâteaux – Engel
2. Coussin musical poire – Annabel Kern
3. Sac isotherme oiseaux – Sass & Belle
4. Assiette singe en porcelaine – Kom
5. Serviette ananas – Bobo Choses
6. Emporte pièces fruits – Meri Meri
7. Tablier et set d’ustensiles – Odette Wiliams
J’ai découvert les produits Michel Cluizel il y a quelques temps et j’en suis super fan, surtout de cette pâte au praliné assez dingue. La jolie Fabrique Kluger spécialisée dans la confection de tartes, s’était associée à la marque pour créer une délicieuse recette de tarte au chocolat. Bon évidemment je suis très en retard pour vous en parler parce que la fameuse tarte n’est plus disponible, mais voici la recette que j’aimerai partager avec vous (j’ai réalisé la pâte avec de la pâte sablée qui me restait mais voici la recette initiale) :
Pour 6 tartelettes
Le fond de tarte
50g de farine de châtaigne
125g de beurre pommade
1 oeuf
40g de sucre
200g de farine de riz
20g de poudre brute de cacao Michel Cluizel
1. La veille ou au moins 2h avant, préparer la pâte : étaler la farine de châtaigne sur un papier sulfurisé, et la passer au four à 170℃ pendant 10 à 15 min. Elle ne doit pas colorer, laisser refroidir.
2. Travailler au robot ou à la maryse le beurre pommade, l’oeuf, le sucre pour obtenir un mélange homogène.
3. Ajouter la farine de riz, la farine de châtaigne torréfiée, et la poudre de cacao pour former une boule de pâte.
4. Aplatir puis envelopper dans un film cellophane et laisser reposer au moins 2h au frais.
5. Etaler la pâte au rouleau, la piquer et la foncer dans des moules à tartelettes beurrés.
6. Précuire au four à 170℃ pendant 25 à 30 minutes, laisser refroidir.
La ganache au chocolat et coeur praliné
200g de crème fleurette
150g de mini grammes Kayambe Noir 72% Michel Cluizel
40g de beurre
60g de pâte au praliné 89% Michel CLuizel
1. Chauffer la crème et la verser bouillante en 3 fois sur les mini grammes de chocolat.
2. Ajouter le beurre et bien mélanger au fouet.
3. Couler la pâte praliné dans des petits moules en silicone (je n’en avais pas alors j’ai formé des boules avec du papier cellophane). Laisser prendre au congélateur.
4. Poser les coeurs praliné dans le fond de chaque tarte et couleur la ganache autour. Laisser prendre au moins 1h au frais.
Tuile
30g de gruétine
20g de grué de cacao bio
1. Déposer 6 petits tas de gruéetine bien espacés sur un papier sulfurisé, et les passer au four à 180℃ pendant 10 minutes.
2. Sortir du four et laisser refroidir.
3. Au moment de servir, poser sur une moitié de chaque tartelette les tuiles de gruétines, et décorer l’autre partie avec le grué de cacao bio.
4. Servir frais ou à température ambiante.
Fabrique Kluger
11 rue Trousseau
75011 Paris
Petites manufactures Cluizel
201 rue St Honoré 75001 Paris / 3 rue Tronchet 75008 Paris / 2 rue des Rosiers 75004 Paris / 10 rue Madeleine Michelis 92200 Neuilly sur Seine
Celui qui n’a pas entendu parler du restaurant East Mamma vit probablement reclus en ermite au fin-fond des catacombes. Même avant son ouverture, le buzz était déjà monstre, et aujourd’hui – quelques mois plus tard – l’endroit ne désemplit pas. C’est sûr, pour avoir la chance de s’emparer d’une table chez East Mamma, il faut se lever tôt. Je m’y suis repris à 5 fois avant de pouvoir y manger! Chez la petite soeur Obermamma à Oberkampf, même topo. Bon alors, vous allez me dire, mais pourquoi ces 2 restaurants affichent complets chaque midi et soir (même à 19h00!)? Eh bien, pour ces 5 raisons très simples :
Le service
Bien que l’équipe soit (presque) 100% italienne, le service lui est à l’américaine : accueil impeccable, ciao par ci ciao par là, verre d’eau aussitôt servi carafe remplie, tape sur l’épaule et tchatche complaisante, c’est le service qui manque à ce Paris glacial et marmoréen que je maudit tant. Et ça, ça fait du bien.
Les produits
Arrivage chaque semaine d’Italie, les produits sont absolument parfaits et proviennent directement des producteurs : la stracciatella fumée est fondante à souhait, les pâtes sont fraîches et confectionnées maison avec de la semoule de blé dur bio, les pizzas peuvent nourrir une famille de 7, le café torréifié à la napolitaine, le vin nature, et tutti quanti.
Les chefs
Drivés par la mamma, Stella Di Viesto et ses recettes d’antan, on retrouve le jeune chef napolitain Ciro Cristiano, formé dans la cuisine familiale du Corso San Giovanni. A ses côtés et derrière le four à bois, son cousin Pasquale Giordano fait danser les pizzas depuis ses 12 ans Avec une casquette Brooklyn vissée sur la tête, toute leur équipe s’affole, s’affaire, transpire, et fait virevolter la pizza dans les airs ou frémir la pasta.
La déco
C’est l’anglais Martin Brudnizki (les restos de Jamie Oliver c’est lui) qu’ont interrogé Tigrane Seydoux et Victor Lugger, à l’origine du projet Big Mamma. Des comptoirs en marbre vert sous une verrière industrielle, des cuisines ouvertes d’où l’on aperçoit un four à bois monumental, un graphisme décalé et maîtrisé sur les menus, des appliques rétro sur des murs en bois vieilli, de la vaisselle fleurie et des casseroles en cuivre, bref, un bon mélange pour se sentir bien.
Les prix
En Italie, on mange bien partout, même sur une aire d’autoroute ou dans un PMU défraîchi. Les pizzas ne dépassent pas les quelques euros et ici c’est pareil, on retrouve le positionnement d’une trattoria typique : de 12 à 15 euros pour les pâtes et de 9 à 15 pour les pizzas. Le petit plus : l’aperitivo-qui-tue servi avec son cocktail spritz pomme basilic le soir!
Et c’est pour ces raisons qu’on y va et qu’on a envie d’y retourner toutes les semaines! Mamma mia!
Après les collabs très réussies avec Olympia Le Tan ou encore Kitsuné, Pierre Marcolini remet le couvert et signe avec Tom Dixon un coffret au chic londonien. Déclinée en 36 bouchées chocolats ou 12 macarons au choix, la brique façon lego aux couleurs flamboyantes et touche de bling sera vendue en édition limitée à partir du 1er septembre dans les boutiques du chocolatier belge.
Prix : 31€ / 41 €
Où : sur le site ou en boutique
Cette recette est une variante du bortsch typique polonais, qui s’appelle Chłodnik. Ce velouté est une sorte de gaspacho qu’on peut déguster en été par exemple. Il est bien plus rapide à faire que le bortsch typique par contre! On peut l’accompagner d’oeufs durs ou mollets, d’aneth fraiche, de radis, et de crème épaisse acide “sour”. Les jolies assiettes viennent de chez Jars – c’est la collection Plume – dont je vous parlais déjà ici.
Je vous livre ma version ici, que j’ai complètement improvisée, n’hésitez pas à me faire part de vos recettes typiques polonaises si vous en avez! Chłodnik se constitue de lait caillé que j’ai par exemple remplacé par de la crème légère liquide.
Les Ingrédients (pour 2 grands bols)
– 1 betterave crue
– une tige de celeri avec feuille
– 1 gousse d’ail
– 1 bouillon cube
– 1 cuillère à café de cumin en poudre
– quelques graines de coriandre
– aneth fraîche
– 1 citron
– une cuillère à soupe d’huile d’olive
– sel, poivre
– 1 ou 2 oeufs
La Recette
1. Epluchez la betterave, coupez-la en morceaux.
2. Dans une grande casserole, placez la betterave, la gousse d’ail épluchée, le celeri découpé, le bouillon cube et couvrir d’eau.
3. Portez à ébullition et faire cuire à feu moyen jusqu’à ce que la betterave soit cuite.
4. Mixez le tout puis réservez au frais. Ajoutez l’huile d’olive, le jus de citron, salez et poivrez à votre goût.
5. Servir avec des oeufs durs ou mollets et de l’aneth fraîche. Si le goût est trop prononcé pour vous, vous pouvez ajouter 10cl de crème liquide pour adoucir.
J’ai été invitée à découvrir il y a quelques temps les ateliers de cuisine Kialatok, grâce auxquels on part à la découverte de cuisines et cultures du monde, allant du Brésil jusqu’à la Chine en passant par la Côte d’Ivoire. Durant l’atelier, on apprend à cuisiner par exemple des spécialités du nouvel an chinois à savoir des dim sums, ces fameux raviolis, farcis aux crevettes et pousses de bambou, ou au porc, poireau et gingembre, un vrai régal. On se familiarise avec des produits phares de la gastronomie chinoise, et on perfectionne notre technique de pliage du ravioli, qui n’est pas des plus aisées à maîtriser! Les ateliers sont animés par des cuisiniers ou des passionnés de cultures différentes, comme Margot Zhang, auteur du blog Recettes d’une Chinoise. Un véritable voyage gastronomique en plein Paris!
Combien : de 44 à 69 euros
Combien de temps : Environ 3 heures
Quand : L’agenda est visible sur le site Kialatok
Le lieu :
74 Rue Philippe de Girard
75018 Paris
